Je suis tombée toute petite dans la marmite des voyages. Une marmite familiale puisque j'ai vécu mes 12 premières années sur un voilier en atlantique.
J'y ai pris goût au bonheur d'être en mer bien sûr, mais aussi à la joie de se déplacer où on veut, quand on veut... ou presque.
Et cette sensation-là de liberté, dur dur de l'oublier !
Dès la fin des études, je suis partie avec Voiles Sans Frontières pour une mission en Haïti, où nous avons amené du matériel scolaire, en voilier depuis Marseille. Je suis ensuite restée sur place 4 mois, donnant des cours dans un collège au Môle St Nicolas, puis participant à la vie de l'orphelinat St François sur l'Ile à Vache, dans le sud.
En 2006, je suis repartie 10 mois sac au dos avec trois personnes rencontrées sur internet (site du routard). Direction l'Amérique du sud, d'Ushuaia au Venezuela le long de la cordillère des Andes. J'y ai quand même trouvé le moyen de naviguer sur le lac Titicaca puis au Vénézuela pendant 2 mois !
Entre ces 'grands' voyages, mon compagnon de voyage favori restait mon frère Yann : Chine, Colombie, Asie Centrale...
Ensemble, entre rigolades et engueulades, on a expérimenté tout plein de choses :
les fondues chinoises hyper ultra épicées qui font faire des voyages au WC toute la nuit,
une soirée sous tente, au milieu des dunes, à s'échanger des recettes de cuisine, en repoussant le moment où on allait engloutir notre petit kebab en guise de dîner,
une nuit passée à trembler au moindre bruit, dans un hôtel complètement désaffecté, à la frontière Géorgienne.
Au milieu de tout ça, je travaille à l'hôpital de Grenoble dans le secteur fluides. Un travail bien intéressant car il y a toujours à faire, et surtout il allie la technique à la réflexion, avec beaucoup de terrain.
J'y ai pris goût au bonheur d'être en mer bien sûr, mais aussi à la joie de se déplacer où on veut, quand on veut... ou presque.
Et cette sensation-là de liberté, dur dur de l'oublier !
Dès la fin des études, je suis partie avec Voiles Sans Frontières pour une mission en Haïti, où nous avons amené du matériel scolaire, en voilier depuis Marseille. Je suis ensuite restée sur place 4 mois, donnant des cours dans un collège au Môle St Nicolas, puis participant à la vie de l'orphelinat St François sur l'Ile à Vache, dans le sud.
En 2006, je suis repartie 10 mois sac au dos avec trois personnes rencontrées sur internet (site du routard). Direction l'Amérique du sud, d'Ushuaia au Venezuela le long de la cordillère des Andes. J'y ai quand même trouvé le moyen de naviguer sur le lac Titicaca puis au Vénézuela pendant 2 mois !
Entre ces 'grands' voyages, mon compagnon de voyage favori restait mon frère Yann : Chine, Colombie, Asie Centrale...
Ensemble, entre rigolades et engueulades, on a expérimenté tout plein de choses :
les fondues chinoises hyper ultra épicées qui font faire des voyages au WC toute la nuit,
une soirée sous tente, au milieu des dunes, à s'échanger des recettes de cuisine, en repoussant le moment où on allait engloutir notre petit kebab en guise de dîner,
une nuit passée à trembler au moindre bruit, dans un hôtel complètement désaffecté, à la frontière Géorgienne.
Au milieu de tout ça, je travaille à l'hôpital de Grenoble dans le secteur fluides. Un travail bien intéressant car il y a toujours à faire, et surtout il allie la technique à la réflexion, avec beaucoup de terrain.
BENOIT PETITCOLAS:
J'ai grandi proche des montagnes sans savoir à quel point elles étaient importantes pour moi, et pendant un moment j'ai cru que le reste de la France ressemblait à ce qui m'entourait. Et puis un jour, dans un train pour Lyon... ah mais y'a pas des montagnes partout ?
J'adore les contrastes qu'on y trouve, sentir les éléments, avec un gros plus pour la glisse en telemark de rando, le bruit du vent dans le casque d'alpinisme et de la pluie sur la toile de tente.
J'ai commencé à voyager pour des chantiers de géophysique marine à l'étranger, sans croiser Albane à priori, ou alors j'étais trop occupé à ingérer des bananes pour ne pas être malade. J'ai apprécié de travailler avec des équipes locales, au point que pour moi le voyage touristique : bof bof. J'ai aussi découvert une autre façon de voyager en allant voir des amis qui vivent en Algérie, à Madagascar et en Centrafrique.
Bien plus proche de chez nous, j'ai enfourché mon vélo pour parcourir plusieurs coins de France. Voyager à vélo et sacoches a beaucoup d'avantages, notamment pour rencontrer les gens et toujours sentir les éléments (les bananes en moins ! ). C'est simple, écologique, complètement ouvert aux imprévus, ça permet d'avancer juste au bon rythme, de s'arrêter dès que l'on veut, et ça transforme le trajet en plaisir sans que les points de chute aient finalement beaucoup d'importance. Bref, le cyclotourisme, c'est tip top !
Et le boulot dans tout ça ? Je travaille pour la définition puis le suivi de quartiers écologiques et de zones d'aménagement concerté, pour le compte du bureau d'études ITF (Chambéry). C'est un travail très motivant car en interaction avec de nombreux intervenants (communes, urbanistes, architectes, ingénieurs déplacement...). Il s'agit de donner l'envie et les éléments techniques pour associer à ces projets une qualité environnementale très forte. Une mayonnaise très vertueuse à faire prendre pour que chacun s'approprie ces objectifs !
Pour le voyage en Asie à vélo, vous l'aurez compris :
le vélo, ca vient plutôt de Benoît, et le fait de partir aussi longtemps ça vient plutôt d'Albane.
L'Asie, c'est un peu de nous deux, et l'opportunité de rejoindre Sylvie et Ben pour quelques kilomètres !
J'adore les contrastes qu'on y trouve, sentir les éléments, avec un gros plus pour la glisse en telemark de rando, le bruit du vent dans le casque d'alpinisme et de la pluie sur la toile de tente.
J'ai commencé à voyager pour des chantiers de géophysique marine à l'étranger, sans croiser Albane à priori, ou alors j'étais trop occupé à ingérer des bananes pour ne pas être malade. J'ai apprécié de travailler avec des équipes locales, au point que pour moi le voyage touristique : bof bof. J'ai aussi découvert une autre façon de voyager en allant voir des amis qui vivent en Algérie, à Madagascar et en Centrafrique.
Bien plus proche de chez nous, j'ai enfourché mon vélo pour parcourir plusieurs coins de France. Voyager à vélo et sacoches a beaucoup d'avantages, notamment pour rencontrer les gens et toujours sentir les éléments (les bananes en moins ! ). C'est simple, écologique, complètement ouvert aux imprévus, ça permet d'avancer juste au bon rythme, de s'arrêter dès que l'on veut, et ça transforme le trajet en plaisir sans que les points de chute aient finalement beaucoup d'importance. Bref, le cyclotourisme, c'est tip top !
Et le boulot dans tout ça ? Je travaille pour la définition puis le suivi de quartiers écologiques et de zones d'aménagement concerté, pour le compte du bureau d'études ITF (Chambéry). C'est un travail très motivant car en interaction avec de nombreux intervenants (communes, urbanistes, architectes, ingénieurs déplacement...). Il s'agit de donner l'envie et les éléments techniques pour associer à ces projets une qualité environnementale très forte. Une mayonnaise très vertueuse à faire prendre pour que chacun s'approprie ces objectifs !
Pour le voyage en Asie à vélo, vous l'aurez compris :
le vélo, ca vient plutôt de Benoît, et le fait de partir aussi longtemps ça vient plutôt d'Albane.
L'Asie, c'est un peu de nous deux, et l'opportunité de rejoindre Sylvie et Ben pour quelques kilomètres !
Pour nous contacter : troisptitstours@gmail.com,
ou encore albane.bigant@gmail.com et benoit.petitcolas@yahoo.fr
BIDULSTAN :
Bidulstan est une peluche que nous emportons avec nous.
Les racines de son nom sont situées quelque part entre l'Europe et l'Asie Centrale :
"Bidule" parce qu'on ne savait pas trop comment l'appeler,
"Stan" parce que quand on nous demande les pays que l'on va traverser, la plupart des personnes mélangent les pays en "stan": Kazakhstan ? Kirghizistan ? Tadjikistan ? Pakistan ? Turkistan ? Turkestan ? Turkménistan? Trucmuchstan ? (ah, on fait moins les fiers, hein !)
Il est un peu des doudous de Nils, Guillaume, Maëlle, Anouck, Paola, Nino, Aimé, Rémi, Florette, Antonin, Louna, Lison, Naomé ainsi que des autres enfants qui le souhaitent.
Bidulstan vous racontera ce qu'il voit tout au long de la route.
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